Review Umarex/VFC HK416 A5 GBBr

 

 

20 juillet 2017. Dernière modification septembre 2020.

 

Lors de mon passage à l’IWA 2017 j’avais pu voir le HK416A5 dans sa version gas blow-back en exposition, et forcément, en grand fanboy du manufacturier allemand, j’attendais avec impatience sa sortie officielle.

Un beau jour il fut disponible sur le site allemand BEGADI et c’est donc par l’intermédiaire de mon pote Bruce de BB2K airsoft que nous avons initié un contact pour que je puisse vous présenter la bête dans l’Antre !

Non, ce n’est pas un AEG, oui, Umarex proposera certainement une version AEG plus tard, mais pour le moment c’est au GBBR que l’on a à faire !

C’est parti pour un petit tour de cette réplique signée VFC !

 

Un rappel en vidéo :

 

Je vous laisse également regarder la vidéo de BadaBing Pictures, en Anglais mais je suis content de voir qu’on a a peu près le même avis :

 

Le HK416A5 est l’évolution logique de la gamme de fusils d’assaut proposée par H&K. Pour tout savoir sur les nouveautés, c’est par ICI !

Il est utilisé par les forces spéciales françaises depuis 2014 et le HK416F qui va peu à peu remplacer le FAMAS est fabriqué sur la même base.

 

 

Le combo Umarex/HK mène quasi toujours à la boite noire en carton marquée du logo de l’armurier allemand et de la devise « no compromise ».

 

A l’intérieur, on retrouve le système parfois utilisé par VFC pour conditionner les répliques. Rien n’a bougé pendant le transport.

 

La boite contient :

-La réplique du HK416A5 en version 11″. Elle est constituée d’aluminium, d’acier et de plastique. Elle mesure entre 71 et 79 cm et pèse 2905 grammes chargeur engagé.

-Un chargeur à gaz pouvant contenir jusqu’à 40 billes.

-Un BB-loader avec deux embouts spéciaux.

-Un manuel d’utilisation multilingue.

 

 

Faites tourner la réplique avec votre souris.

 

 

Umarex nous propose la version 11 pouces du HK416A5, du coup la réplique est relativement compacte lorsque la crosse est sur la première position. Notez que la réplique est disponible en noir et en RAL8000 (marron).

 

Le corps est en aluminium anodisé. Les marquages HK sont gravés au laser.

 

Le numéro de série est propre à chaque réplique.

 

Du côté droit du receveur inférieur, la mention « licenced trademark of… » trahit la destination de ce HK416 : lancer des billes !

 

Malheureusement il est plus facile de les effacer à l’aide d’un logiciel que « pour de vrai » !

 

Notez qu’il n’y a aucune inscription sur l’avant du puits de chargeur.

 

Très bonne nouvelle, les marquages légaux relatifs à l’airsoft sont bien dissimulés près de la queue de détente.

 

Tous les contrôles sont ambidextres. Ici on peut voir que l’arrêtoir de culasse est protégé par une sorte de bourrelet empêchant son déclenchement intempestif.

Juste en dessous, on retrouve le bouton d’éjection du chargeur.

Le sélecteur 3 positions est en plastique. ATTENTION : si le marteau n’est pas armé, il est impossible de mettre la réplique en sûreté. C’était une fonction présente sur le vrai HK416D mais qui n’est plus présente sur les modèles A5, la réplique est donc inexacte sur ce point de détail.

 

On retrouve les mêmes éléments du côté droit. Je reviendrai plus tard sur l’arrêtoir de culasse.

 

Le pontet est étudié pour que le tireur puisse porter des gants sans problème.

 

Vous l’aurez peut-être remarqué, le puits de chargement est biseauté comme sur les M4 et consort pour pouvoir accepter tous les chargeurs type STANAG, acier ou polymère.

 

Voyez ici la différence avec le HK416D, qui n’acceptait pas tous les chargeurs type « PMAG ».

 

Le nouveau « battle grip » HK équipe cette réplique. Il est assez confortable à la prise en main, mais l’angle formé entre le grip et le pontet est très désagréable.

 

Sans gants c’est l’enfer, j’ai donc limé l’angle et ça va mieux ! La poignée tient par une grosse vis.

 

ATTENTION : le ressort de la bille du sélecteur est situé côté droit, ne le perdez pas !

 

 

On lime…

 

 

…et là c’est confortable !

 

 

Le talon se détache pour pouvoir stocker piles et petits outils (genre clé Allen pour régler la valve…).

 

Contrairement aux modèles réels, le talon ne possède pas de joint torique.

 

Un double anneau de sangle est présent sur le tube de crosse. On remarque l’imposant écrou qui bloque le tube sur le receveur.

 

La crosse est un modèle « slim line ». Elle est donc fine et confortable, ça change du modèle E1 !

 

Un petit carré est découpé sur le dessus mais aucun repère n’est peint ni gravé sur le tube.

 

Convexe ? Concave ? Que nenni, la plaque de couche est droite.

 

Elle peut être retirée en la déverrouillant et en la faisant glisser vers le bas, mais cela n’a pas grand intérêt car on ne peut rien y stocker.

 

Un rapide comparatif entre la Slim et la E1.

 

 

Le tube dispose de 5 positions pour que vous puissiez régler la longueur de la crosse à votre convenance.

 

Le diamètre du tube est approximativement de 29.5mm. Je dis approximativement car j’ai relevé différentes mesures entre 29 et 29.10mm…

 

Le bouton d’aide à l’armement n’est pas fonctionnel.

 

Le levier d’armement n’est pas ambidextre. Une petite pièce en plastique vient couvrir le loquet de verrouillage.

 

Le rail est en aluminium usiné numériquement (CNC). Il dispose de repères sur tous les côtés.

 

A l’avant, on peut remarquer les deux positions « suppressed » et « non-suppressed ». Inutile sur la réplique bien entendu.

On peut voir une partie du bloc d’emprunt des gaz, faites-le tourner pour régler le hop-up.

 

Le rail est « flottant », c’est à dire qu’il ne touche pas le canon externe. Il est verrouillé sur la réplique à l’aide d’une vis en acier.

 

Contrairement au HK416D, ici tous les emplacement supérieurs sont disponibles. Le rail s’intègre parfaitement au receveur supérieur.

 

Ici une vue sur le rail inférieur.

 

L’ensemble mobile est gravé du logo HK. Notez que la trappe anti-poussière est en plastique, comme sur l’arme.

 

Ensemble mobile vers l’arrière, on peut voir le nozzle dont la collerette reproduit la tête de culasse.

 

Ici l’arrêtoir côté droit, ici en position haute. Pressez-le pour renvoyer l’ensemble mobile vers l’avant.

 

Le cache-flamme en acier est un modèle standard. Il est monté sur un filetage de 14mm antihoraire (CCW)

 

 

Le guidon est intégré au rail sur la version 11″, c’est une belle évolution car sur les modèles précédents il avait tendance à s’accrocher à tout ce qui trainait…

 

L’œilleton est un bloc amovible muni d’un peep-sight déployable qui peut être ajusté en hauteur et en dérive.

 

D’innombrables soldats ont dû rédiger des compte-rendus de perte car il se détache assez facilement : il suffit d’appuyer sur le loquet repéré par une cartouche.

 

La visée est agréable mais la plupart d’entre-vous préférera sans doute installer un point rouge sur le rail…

 

 

Le chargeur à gaz peut emporter jusqu’à 40 billes. Personnellement j’en enlève toujours une pour éviter de forcer sur le nozzle lors de l’engagement dans la réplique. Il pèse 400 grammes.

 

Ce sont des modèles différents des chargeurs « m4 » classiques de chez VFC. Pas grand-chose mais déjà la présence des marquages HK, et ça, j’aime !

 

La valve de remplissage est située juste sous la valve de percussion.

 

Le haut du chargeur est en plastique. Il inclus les lèvres et maintient le gas route.

 

Ici côte à côte, le chargeur d’origine à gauche et un chargeur de rechange un peu plus ancien à droite.

 

On peut remarquer la différence de design des gas routes.

 

En cas de fuite (peu probable, mais on n’est jamais à l’abri !) sur le haut du chargeur, il faut retirer la partie en plastique qui est maintenue par deux vis.

 

ATTENTION : maintenez la pièce jusqu’au bout car le BB-follower et son ressort peuvent s’envoler assez loin ! Remarquez également la position des deux petites pièces qui actionnent l’arrêtoir de culasse.

 

Le gas route est effectivement différent, il s’agit d’un modèle V2 de chargeur V-MAG, les « PMAG » de chez VFC.

 

ATTENTION : il peut arriver que les pièces se mettent à l’envers lors du démontage comme ça a été le cas ici. Dans ce cas l’arrêtoir de culasse ne sera pas fonctionnel.

 

La valve de remplissage et son petit joint.

 

Même si la fuite vient du dessus, il faudra ôter la plaque inférieure qui est maintenue par trois vis. En fait il n’y a pas de coque externe sur ces chargeurs, c’est le corps qui fait office de réserve de gaz.

 

Le joint est bien épais et bien huilé.

 

Pour accéder au joint supérieur, il faut dévisser cette vis bien cachée !

 

Et voilà ! Ici aussi le joint est bien épais. Par contre il n’est pas symétrique, remettez bien la partie « trouée » vers l’avant au remontage, sinon votre chargeur ne fonctionnera pas.

 

Vous pourrez désormais enlever la valve de percussion. ATTENTION : des joints peuvent rester coincés dans la partie métallique, vérifiez bien !

 

Hop, joint récupéré et remonté !

 

 

Bon, c’est pas le tout mais on va regarder ce qu’il y a la dedans ! Pour les opérations d’entretien, la base est basique (oui oui !). Il faut chasser la goupille de démontage arrière et « casser » la réplique en deux.

 

Il suffit ensuite de tirer le levier d’armement pour faire sortir l’ensemble mobile.

 

Il est constitué d’alliage mais les guides et l’endroit où l’arrêtoir vient bloquer l’ensemble mobile sont en acier.

 

Il pèse 220 grammes.

 

Ce qui est sympa, c’est que désormais les nozzle VFC sont directement équipés de valves réglables à l’aide d’une petite clé Allen. J’aurais d’ailleurs aimé qu’il y en ait une dans la boite. Nous verrons l’amplitude de réglage lors des tests de tir.

 

Démontons cette vis…

 

… puis deux petites vis Allen qui maintiennent le guide sur le porte culasse.

 

Voici le nozzle, il s’agit d’une V3, mais ça fait un moment que ces marquages sont sur les nozzle VFC quels que soient leur profil 🙂

 

Le nozzle est solidaire du porte culasse, il est maintenu par un circlip.

 

Et voilà ! En cas de casse de nozzle, vous savez le remplacer !

 

Au remontage, soyez attentif au profil asymétrique de l’arrière.

 

Si vous souhaitez accéder à l’interne, il faut chasser cette goupille.

 

Ici il s’agit de l’interne du SCAR-H Cybergun/VFC, c’est assez similaire. Je n’ai pas démonté celui du 416 car je n’ai pas retrouvé mon mini chasse-goupille et n’avait pas de petit clou sous la main…

 

 

Le levier d’armement.

 

Aller, on continue en séparant le receveur inférieur du receveur supérieur.

 

Cela permet d’accéder plus facilement à la mécanique. Ça ressemble pas mal à la vraie !

 

La plupart des pièces sont en acier, marteau et percuteur inclus !

 

Comme vous le savez, j’ai reçu cette réplique d’Allemagne où le full est interdit dès lors que vous dépassez 0.5 joules. J’avais donc un HK416 bloqué en semi par un disconnector spécifique, qui là encore ressemble fortement à la vraie pièce.

J’ai commandé un disconnector « full » sur FG-Airsoft (qu’il a appelé « sear ») et le changer à pris 2 minutes. ATTENTION : Si le Full est interdit dans votre pays , n’effectuez pas cette modification au risque d’être poursuivi en justice !

 

Chassez cette goupille mais laissez le chasse-goupille dans le trou afin de maintenir les ressorts.

 

Lors du remontage il faudra faire attention aux ressorts, ils viennent s’insérer dans les petites gorges.

 

Attention également à ne pas oublier de poser ce ressort. Il ne doit pas être plié lors du remontage.

 

Ici le disconnector « full auto » à monter.

 

Le tube de crosse abrite un amortisseur (buffer) et un ressort récupérateur.

 

L’amortisseur est équipé d’une pièce en acier montée sur un ressort qui permet d’accélérer le cycle. Il pèse 95 grammes.

 

Les amortisseur hi-speed et hi-recoil de chez FG-Airsoft sont compatibles avec la réplique mais ce VFC n’en a pas vraiment besoin.

 

Le piston récupérateur est très bien représenté. Sur l’arme, il vient pousser l’ensemble mobile vers l’arrière.

 

Attaquons-nous à l’avant de la réplique. Le rail est maintenu par une vis en acier. Ôtez la et faites glisser le garde-main vers l’avant.

 

Génial, VFC a reproduit le système d’emprunt de gaz du HK416 ! Un petit piston pousse la tige récupératrice sous l’impulsion des gaz brûlés. Totalement inutile en airsoft mais super sympa à voir.

 

Le cache-flamme, la rallonge de canon et le piston sont en acier.

 

Gros plan sur le système de réglage du hop-up. Tourner la molette actionne une tige qui avance ou recule.

 

Démontons-le en enlevant sa vis de maintien et en le tirant vers l’avant de manière ferme mais délicate. Le reste du mécanisme est en plastique.

 

Il faut à présent enlever le bloc d’emprunt des gaz. Il est maintenu par une vis et une goupille.

 

N’oubliez pas de dévisser la rallonge de canon avant toute chose.

 

ATTENTION : il faut là encore être ferme mais délicat lorsqu’on fait glisser le bloc vers l’avant, il contient la vis de réglage du hop-up et l’extrémité de la tige de réglage.

 

On va pouvoir s’attaquer au gros morceau : l’écrou de canon (barrel nut).

 

Mais avant cela mettons de côté le faux ensemble récupérateur.

 

ATTENTION : il y a un petit ressort qui se place dans la vis de réglage de hop-up.

 

ATTENTION : L’écrou est TRES BIEN serré ! J’ai dû placer la réplique dans un étau et taper sur mon outil avec un marteau pour le débloquer.

 

Une fois enlevé, on peut séparer le canon du receveur supérieur.

 

Une bague en plastique fait le lien entre le receveur et le bloc hop-up.

 

Il est temps de retirer le canon externe. Quatre vis le maintiennent au bloc hop-up.

 

On peut maintenant le retirer.

 

On peut retirer la patte de réglage du hop-up. Ici en position zéro.

 

Et là en position maximale. Le bras de levier fait simplement pivoter la pièce d’appui sur son axe. Simple et efficace !

 

Trois vis maintiennent le bloc hop-up fermé. Enlevons-les !

 

ATTENTION : avant d’entreprendre un changement de joint ou de canon, vérifiez bien que vos pièces soient compatibles ! Regardez les encoches du canon et notez que le joint n’a PAS de téton rectangulaire comme les joints de VSR-10.

 

On ôte le levier…

 

Il ne reste qu’à déposer la bague de centrage du levier.

 

Le joint est semblable à celui du SCAR-H Cybergun. On dirait que VFC a tenté de mouler directement une sorte de R-hop sur le joint.

 

Le canon en laiton fait 275mm de long pour 6.08mm de diamètre.

 

Il n’y a plus qu’à remonter tout ça !

 

 

Pas d’éclaté dans la boite mais vous pouvez retrouver la version de mars 2018 directement ICI.

 

 

-Chronographe Xcortech X3500.

-Green gas.

-Billes 0.20g bio G&G et 0.30 bio BO Manufacture.

-Tests réalisés entre 27 et 28°C.

Sur mon exemplaire, l’amplitude de réglage va de 180 à 520 FPS. Fermée au minimum, la valve procure un excellent recul mais très peu de vélocité à la bille. Ouverte au minimum vous avez une puissance de porc mais la réplique cycle très mal. En effet, la quantité de gaz étant toujours la même, vous ne faites que de partager le flux entre l’avant et l’arrière du nozzle. Si trop peu de gaz est dirigé vers l’arrière, l’ensemble mobile ne peut pas cycler correctement.

Pour ma part j’ai réglé la réplique aux alentours de 330-350 FPS, tout dépend des chargeurs utilisés. Je suis content de la relative stabilité des résultats (environ 15 FPS d’amplitude) et du recul de la réplique.

Une charge de gaz m’a permis de vider entre 1.5 et 2 chargeurs en tir rapide, je pense qu’en jeu il est possible de faire mieux. Gardez à l’esprit que c’est l’été, les températures sont propices aux GBBR, je ferai de nouveaux tests cet hiver !

Le hop-up se montre efficace, un peu trop même, j’ai donc opté pour des billes 0.30 grammes pour mes tests, mais on pourrait même monter à 0.32 ou 0.36 sans souci.

Si comme moi vous ne faites pas vos tests un jour ou le vent souffle en rafales, il est facile de touche un adversaire même à plus de 35 mètres. Les billes filent droit une fois le hop-up rodé.

Le full n’est utile que pour de courtes rafales de 2 à 4 billes, au delà ça disperse pas mal mais cela peut servir à faire baisser les têtes ! On est ici aux antipodes des systèmes HPA qui offrent 100% de performances mais 0% de sensations…

Il m’est arrivé plusieurs fois que le système d’arrêt de tir en fin de chargeur ne fasse pas son travail. Après un bon nettoyage/graissage de l’arrêtoir c’est un peu mieux mais je n’ai pas 100% d’efficacité.

A terme j’aimerais équiper tous mes chargeurs en gas route VMAG V2 pour avoir les mêmes performances que sur le chargeur d’origine.

 

Je vous laisse voir tout cela en vidéo :

 

 

Je vous préviens, ma conclusion sera forcément orientée par mon intérêt pour les répliques de flingues HK 🙂

Plus sérieusement, Umarex nous propose une réplique bien finie, solide et qui semble fiable et efficace en sortie de boite, preuve que VFC ne cesse d’essayer d’améliorer ses productions (je peux également citer le SCAR-H Cybergun).

Le fait de pouvoir régler la puissance de la réplique rapidement sans avoir à tout démonter ou à installer des pièces supplémentaires est un réel plus pour nous autres Français, dont les associations utilisent des règles différentes selon les parties ou les terrains. De la forêt ? Je règle à 390 ! Du CQB ? Je descends à 320 et le tour est joué !

Le réglage du hop-up est enfantin mais je trouve le système un peu trop exposé lors des franchissements de buissons ou si la réplique frotte sur un élément de votre tenue lors d’une transition fusil/PA.

Les boites sont toujours un peu vide chez Umarex, j’aurais aimé qu’on me donne les outils nécessaires au réglage de puissance, et pourquoi pas une clé pour dévisser l’écrou de canon et l’écrou de tube de crosse. WE le fait et pourtant leurs répliques sont moins chères… a bon entendeur…

Bref, moi qui était parti pour un prêt de réplique, j’ai acheté ce HK416A5 tellement je me suis fait plaisir avec, que ce soit à le manipuler ou à arpenter le terrain de jeu. A vous de voir s’il peut vous plaire, si vous êtes prêt à investir 800€ en réplique+ chargeurs et surtout, à apprendre à jouer au GBBR, c’est à dire être mobile et sortir un adversaire avec 1 à 3 billes maximum !

 

Je vous laisse, je dois aller nettoyer mon précieux ! Oui, ça se nettoie, surtout le canon ! Tchuss !

 

-Qualité de fabrication.

-Solidité des matériaux.

-Un 416A5 quoi !

-Tire droit en sortie de boite.

-Puissance réglable.

-Interne en acier.

-Très bonnes sensations de tir.

-Après 3 ans, pas de casse.

-Réglage du hop-up simple et accessible…

 

 

 

-… mais un peu trop accessible en fait, attention à ne pas le dérégler en frottant contre une tenue ou un buisson ! (EDIT : en 3 ans ça ne m’est jamais arrivé).

-Marquages de licence sur le receveur inférieur.

-Pas d’outils dans la boite.

-L’arrêtoir de culasse ne se déclenche pas toujours en fin de chargeur. (réglé, astuce plus bas…)

 

 

 

Retour d’expérience :

-Selon le type de chargeur ou leur génération, les performances ou la puissance de la réplique peuvent varier (plus ou moins de cool-down, 30 FPS de plus ou de moins…)

-A priori l’anodisation du modèle RAL8000 est plus sensible aux chocs et aux frottements. Ici la photo de Florian qui me dit que c’est le résultat de peu de frottements lors de sa première partie :

-Il a également subit une casse au niveau de la vis centrale qui retient le guide sur le bolt :

Je trouve ça bizarre que cette partie casse sans que le guide ou les deux autres vis soient restée en place. Peut-être une petite bulle d’air dans l’alliage.

 

-Pour régler le problème de bolt catch qui ne se déclenche pas toujours, j’ai lu une astuce de Philbang sur France Airsoft, il suffit d’acheter des ressort de chargeur strong Systema et de les remplacer, j’ai la joie d’avoir maintenant des chargeurs qui enclenchent l’arrêtoir 100% du temps.

Une réponse à “Review Umarex/VFC HK416 A5 GBBr”

  1. Ronanbourg dit :

    sUPERBE REVIEW ! c’est du super matos ! quelle qualité de finition !

    as tu fais des tests avec des chargeurs pmag we ? (Ceux vendus initialement pour le msk sur Ae)

    Est-il possible que la nouvelle forme du puit de chargeur permette des compatibilité de chargeurs avec d’autres marques ?

    Merci a toi 😉