Review Secutor Legio Rapax XXI M1

 

15 février 2019.

 

Lorsque 020 Magazine, en charge de la communication pour la marque Secutor, m’a contacté pour savoir si je voulais tester et vous montrer le Rapax, je me suis souvenu que j’avais en effet envoyé un mail il y a des lustres pour savoir si cela pouvait se faire.

Chouette ! En effet, j’ai fait très peu de reviews de ce type de répliques estampillées « contre-snipe » ou « DMR » (Designated Marksman Rifle, fusil en dotation chez un soldat dans un groupe de combat et capable de tirer à plus longue distance que les fusils d’assaut de base, cela permet de donner un peu d’allonge au groupe de combat et également de fixer des cibles) du coup ça complètera la variété de répliques que j’ai la chance de vous présenter ici.

Je vous propose de ce fait un tour complet de ce Rapax M1, suivez-moi !

 

Voici en premier lieu la vidéo de présentation si vous ne l’avez toujours pas regardée :

 

 

La base est inspirée du M110 SASS (Semi-Automatic Sniper System) de chez Knight’s Armament Company.

 

La boite en carton est ornée d’un casque de gladiateur et de l’inscription RAPAX, pas de photo de la réplique mais une maxime latine « Libertas capitur », la liberté se prend.

 

A l’intérieur la réplique et ses accessoires sont parfaitement maintenus dans de la mousse compacte.

La boite contient :

-La réplique, constituée d’alliage et de plastique. Elle mesure entre 880 et 965 mm pour une masse de 3000 grammes.

-Un chargeur polymère type « 7.62X51 » pouvant contenir 50 billes.

-Un attache-sangle QD.

-Un BB-loader.

-Une tige de nettoyage.

-Deux manuels d’utilisation.

 

 

 

 

 

Le corps est en alliage, le garde-main en aluminium et la poignée pistolet, la crosse et le chargeur sont en plastique.

Le maniement est aisé car la réplique est légère pour sa taille et les différents contrôles tombent bien sous les doigts.

 

Si vous préférez le look du modèle M2, il est disponible au même tarif malgré un rail un peu plus long mais personnellement je ne suis pas un grand fan de ce type de crosse !

 

Et bien entendu pour les férus de marquages real steel, le M110 Ares est également disponible assez facilement pour un peu plus cher dans vos boutiques préférées.

 

Sur ce modèle M1 le receveur supérieur est noir alors que le receveur inférieur est beige. On verra à l’usage si la peinture est robuste. Les marquages ont été gravés au laser, XXI sur le côté gauche du receveur inférieur.

 

La petite maxime de la légion XXI à l’avant du puits de chargeur. « La légion prédatrice. Ceux qui attendent dans l’ombre pour porter le coup final ». Ca fait peur ! Des Gladiateurs légionnaires ninjas en somme…

 

Sur le côté droit on retrouve un numéro de série unique gravé sur le upper et la mention RAPAX Libertas Capitur  sur le lower.

 

Le upper est assez épuré…

 

Les différents contrôles de la réplique sont ambidextres, que ce soit l’arrêtoir de la fausse culasse ici en haut de l’image ou le bouton d’éjection du chargeur ici en bas. Voici pour le côte gauche.

 

Ici les contrôles côté droit de la réplique. En haut arrêtoir de culasse, en bas bouton d’éjection du chargeur.

 

Le sélecteur de tir est également ambidextre. Ne vous y laissez pas prendre, il n’y a que les marquages SAFE et FIRE (à la place de SEMI) mais le sélecteur peut être tourné à fond vers la position AUTO et tirer en full…

 

Par défaut le sélecteur gauche est usiné pour pouvoir passer du semi au full. Si vous souhaitez bloquer votre réplique mécaniquement en coup par coup, il faudra inverser les deux sélecteurs.

 

Pour la marche à suivre je vous invite à passer à la partie consacrée au démontage du Rapax.

Le RAPAX étant équipé de la gearbox EFCS (Electronic Fire Control System), vous pourrez programmer votre réplique avec le boitier spécifique disponible entre 35 et 50€.

ATTENTION : vous pouvez régler une protection pour vos batteries LiPo LiFe etc. mais si vous réglez sur deux cellules la réplique ne fonctionnera pas avec une batterie 3 cellules et inversement.

Exemple, je définis la protection sur 3 cellules. La réplique tournera avec une LiPo 11.1V mais si j’insère une 7.4V elle ne fonctionnera pas.

 

 

La queue de détente est un modèle classique mais le pontet est plus exotique. Il comporte des usinages permettant de caler son index en attendant  de tirer.

 

 

Le levier d’armement n’est pas ambidextre. Lorsque l’on tire dessus, il verrouille le faux ensemble mobile en arrière, découvrant le réglage du hop-up.

 

Lorsque l’on tire sur le poignée cela ouvre le cache-poussière en métal.

 

Le bloc en polymère est équipé d’une molette radiale non crantée (ou alors je ne les ai pas senti !).

 

Lorsqu’on appuie sur l’un des boutons de bolt-catch, le faux ensemble mobile est projeté vers l’avant.

 

La poignée pistolet en plastique est un modèle type Tango Down. Sa texture est agréable et je la préfère aux modèles classiques type M4.

 

Sous la poignée on trouve la plaque moteur et sa grosse vis de réglage.

 

Une pièce munie de deux emplacements Quick Detach est posée entre le corps et l’écrou de tube de crosse. Un attache-sangle type QD est fourni dans la boite.

 

La crosse en polymère est une copie du modèle  MOE Slim Line-S de chez Magpul. Vous ne pourrez pas y placer d’éléments de batterie.

 

Deux emplacements QD ainsi que des fentes permettent d’installer de nombreux types de sangles.

 

La plaque de couche est en caoutchouc.

 

Cette crosse est montée sur un tube 5 positions qui permet d’adapter la longueur de la réplique en fonction de vos préférences.

 

Le tube cache la prise Tamiya mini et est assez long pour pouvoir y insérer une batterie type stick. J’utilise des modèles de chez Energy Airsoft ça passe parfaitement.

 

Le garde-main en alliage est de forme octogonale. 7 de ses faces sont équipées de ports M-Lock alors que la partie supérieure est au standard Picatinny. Les nombreux usinages permettent de gagner pas mal de poids. Malheureusement aucun rail M-Lock n’est fourni dans la boite.  

 

Le canon externe se termine par un petit modérateur de son (juste pour faire joli), lui même couvert par un cache en tissus orné du logo Secutor. Le manuel nous explique que sur les armes réelles ce genre de dispositif permet aux soldats de ne pas se brûler. Pourquoi pas… Pour ma part j’évite de toucher ce genre de pièces après avoir tiré, mais je ne suis pas soldat ^^

 

Le cache se retire facilement, attention à ne pas le perdre sur le terrain ! On peut maintenant dévisser le modérateur. Il s’agit un pas 14mm Horaire (CW).

 

Et là on remarque que Secutor a demandé à ce que le canon exploite la longueur maximale de la réplique. Si vous souhaitez changer le cache-flamme, il faudra également changer le canon interne ou installer une petite rallonge.

 

L’intérieur du modérateur est creux.

 

 

 

Les organes de visée rabattables sont inspirés des modèles Troy Armament et une fois dépliés ils sont verrouillés. Il faudra appuyer sur un petit bouton sur le côté gauche pour les replier. Par contre à l’usine chinoise la personne responsable des marquages ne semblait pas spécialement maitriser notre alphabet.

Ainsi à l’avant nous avons un « Foleing battle sight » de chez « Toy indvstries CO » dont nous pourrons régler le cran en hauteur, mais l’outil n’est pas fourni dans la boite.

 

A l’arrière ça va un peu mieux, « Toys Industries, Inc. » ne portera pas plainte !

Deux œilletons permettent d’adapter sa visée à la distance de tir et ils peuvent être ajustés en dérive à l’aide d’une molette latérale.

 

 

 

Le chargeur a été commandé par Secutor pour remplacer celui des M110. Il s’agit d’un modèle type Magpul en polymère avec des marquages spécifiques au Rapax.

Ils peuvent embarquer 50 billes là où les chargeurs de M110 Ares (compatibles avec le Rapax bien entendu !) en contiennent 160.

 

Ces chargeurs existent en noir ou en beige. Par contre à 30€ le chargeur de 50 billes là où le chargeur M110 de 160 billes est dispo pour 15€, ça pique un peu les gars… Mais ayant reçu la réplique gratuitement je n’allais pas faire le pingre au point de ne pas vous montrer le chargeur beige monté sur la réplique…

 

 

 

Avant de tout péter je voulais vous montrer comment changer le ressort car la réplique tape fort en sortie de boite et ne conviendra donc pas forcément à votre association…

Prenez un long tournevis à lame plate et trouvez la fente du guide de ressort, puis dévissez !

 

Et voilà ! On change le ressort, on revisse le guide et le tour est joué !

 

Pour séparer le receveur inférieur du receveur supérieur, il faut enlever la goupille avant. Elle est maintenue par une vis BTR.

 

Le upper sort tout seul grâce à la tension du ressort monté sur le canon interne.

 

Quel bel engin ! Il est looonggg…

 

Une vue sur le bloc à molette radiale.

 

Le joint est très souple, étrange pour une réplique qui frôle les 2 joules. Cela dit il fait bien son travail mais sa durée de vie ne sera sans doute pas très longue, à voir sur le moyen terme.

 

 

Le canon en laiton mesure 475mm pour un diamètre de 6.05mm.

 

S’il vous vient l’idée de démonter le garde-main, il est maintenu par 6 vis. Sur ce modèle elles n’étaient pas très serrées.  

 

Le garde-main glisse facilement vers l’avant. On peut voir ici le petit tube d’emprunt des gaz. Bien entendu il ne sert à rien sur nos répliques à billes…

 

L’écrou de canon (ou barrel nut) est assez imposant, il faut bien que les vis tiennent quelque part…

 

Il est temps de déposer la gearbox V2 EFCS (Electronic Fire Control System).

 

Après avoir enlevé la plaque moteur, sortons-le de la poignée.

 

Difficile de déterminer son type vu qu’il n’y a pas d’étiquettes ni de marquages.

 

 

Deux vis maintiennent la poignée sur la gearbox.

 

Je vous parlais plus haut de la possibilité de changer les sélecteurs de tir de côté afin de bloquer la réplique mécaniquement en semi. Il suffit simplement de retirer la vis centrale du sélecteur. ATTENTION : une petite bille et un ressort permettent d’obtenir les « clics » du sélecteur, ne les perdez pas !

 

Et voilà, impossible de passer en full !

 

Au tour du bouton d’éjection du chargeur de dégager. Otez la vis BTR et retirer l’arrêtoir et son ressort.

 

 

Au tour de l’arrêtoir de l’ensemble mobile (bolt catch/release). Dévissez la petite vis sans tête et faites attention à ce que l’axe ne saute pas trop loin, il est monté sur un petit ressort.

 

Il ne reste que les deux goupilles à chasser et la gearbox peut être sortie du corps.

 

Un plan sur la pièce qui bloque le faux ensemble mobile vers l’arrière, inutile de la démonter.

 

Bon, j’avoue, si vous n’avez jamais démonté de réplique d’airsoft, ça peut faire peur, mais pour le remontage procédez à l’inverse et prenez votre temps !

 

Voici le cœur du Rapax, la gearbox V2 EFCS de chez Ares. Le sélecteur de tir est ici en position « SAFE », ce sera important lors du remontage, vous verrez cela plus bas.

J’aime bien ces gearboxes car il y a pas mal de bonnes idées dans leur conception. Première bonne idée, les câbles passent à l’extérieur pour éliminer tout risque d’être endommagé par l’axe ou l’engrenage du moteur.

Autre  feature sympa, l’électronique embarquée et le micro-contact de détente. Fini les contacteurs charbonnés et la réactivité aux fraises !

Par contre, vu que rien n’est vraiment standard, il peut être difficile de trouver des pièces en cas de casse. N’hésitez pas à commenter à ce sujet en bas de cet article.

 

Enlevons les engrenages du sélecteur de tir.

 

Puis il faut ôter la petite plaque bleue sur laquelle est posé le détecteur magnétique du sector gear.

 

Ici on peut voir le micro-contact actionné par la queue de détente.

 

Et là au repos.

 

On peut désormais enlever les 8 vis du tour de boite et la séparer en deux.

 

Hop ! Bon, pas vraiment de surprise si vous avez déjà ouvert une EFCS en fait :-p . Ici l’étanchéité était bonne et deux des trois engrenages bien calés. Seul l’engrenage moteur (bevel gear) avait presque un demi millimètre de jeu latéral, sans doute parce qu’il est monté sur roulement et les autres sont montés sur bushings mais c’est un poil trop pour moi… Cela n’empêche pas la réplique de tourner.

 

Les bushings et le roulement. On peut remarquer la graisse badigeonnée sur l’ensemble de l’intérieur de la gearbox au point de s’agglutiner à certains endroits…

 

Les engrenages sont en acier fritté. Il s’agit d’une poudre compressée et chauffée afin de prendre une certaine forme et lier les grains. La solidité dépend de la nature de la poudre ainsi que de son traitement.

 

Le sector gear est équipé d’un delayer, dispositif permettant d’ouvrir le nozzle en avance de phase pour que la bille ait le temps de passer dans le bloc hop-up.

Il y a également un petit aimant qui fait réagir un capteur de position.

 

Le piston en polymère est équipé d’une crémaillère en acier dont la première dent est effacée pour un meilleur angle d’engagement (AoE).

Il est surmonté d’une tête également en polymère dont les orifices permettent au joint d’être bien plaqué contre le cylindre lors du cycle.

 

Le cylindre plein est équipé d’une tête en polymère.

 

Le nozzle en plastique n’est pas équipé de joint torique interne. Il mesure presque 21mm.

 

Le tappet plate est également en plastique.

 

Comme je vous le disais plus haut, aucun fil ne vient passer à l’intérieur de la gearbox.  

 

Changez ce que vous avez à changer puis remontez le tout !  

 

Au remontage des pièces du sélecteur de tir, placez les engrenages côté gauche pour que la réplique soit en position « SAFE » et l’engrenage côté droit aligné sur le repère de la gearbox comme sur cette photo.

 

Et j’en ai profité pour remonter le guide de ressort dans la gearbox. N’hésitez pas à mettre un tout petit coup d’huile de coude au serrage sinon le guide peut se dévisser tout seul.

 

 

Pas d’éclaté dans la boite du RAPAX.

 

 

-Chronographe Xcortech X3500.

-Batterie LiPo 11.1V 1300mAh.

-Billes 0.20g bio Xtreme precision, 0.32g et 0.36g bio ASG Blaster.

 

Avec une moyenne située autour des 440 FPS, le Rapax a été conçu comme un chasseur de snipe, voire même un snipe électrique comme il en existe déjà (SVD, M82…). Si cela convient à quelques marchés et qu’on reste dans les clous pour la France (limite de 2 Joules, soit un poil plus de 460 FPS), la plupart des gérants de terrains et autres associations limitent ce genre de répliques à 400 FPS bloqué en semi mécaniquement ou alors 450 FPS mais avec un dispositif permettant de limiter la cadence de tir à une bille toutes les secondes. Du coup, en l’absence de ressort de rechange dans la boite, la plupart d’entre-nous sera obligé de dépenser quelques Euros de plus. Bon point par contre, la régularité est très bonne et les écarts de vélocité entre les tirs sont très bas.

Le joint d’origine est très souple et ne convient pas tout à fait à ce type de vélocité. Attention, les performances sont honorables mais attendez-vous à une usure assez rapide et quelques trajectoires qui dévient parfois à droite et à gauche. Quand c’est trop mou avec une haute puissance, la bille traverse le bourrelet du joint sans forcément prendre l’effet optimal. Cela dit, une des premières chose que vous ferez sera certainement de changer de ressort et/ou le joint…

Une fois encore vous resterez sans doute sur votre faim en regardant mes tests, je suis limité à 43 mètres maximum de distance sur cible du coup il est difficile de se rendre compte que la bille file vraiment plus loin. De plus, il est beaucoup plus simple de tirer sur un mannequin que sur une cible police. Lors de mes tests, les billes 0.36 se sont avérées plus stables que les 0.32, ce qui est normal à cette vélocité. J’aurais sans doute même pu monter en 0.40 sans problème, le joint lève bien les billes.

La réactivité est relativement bonne pour un AEG avec un gros ressort et la cadence de tir à la LiPo 11.1V atteint tout de même 15,6 billes par seconde. Cela dit, vous trouverez peu d’endroit en France ou vous pourrez tirer en full à 440 FPS…

Je vous laisse voir quelques tirs en vidéo, bien entendu je tire debout et sans appuis comme je le fais majoritairement en jeu :

 

 

 

Le RAPAX est la réplique la plus chère à ce jour proposée par Secutor et vient compléter la gamme entamée par les pistolets et les fusils à pompe (gaz et spring). J’ai donc pas mal de choses à dire et si les points « négatifs » peuvent sembler nombreux il n’y a rien de rédhibitoire.

S’il se positionne à plus bas tarif que le M110 Ares dont il partage la plate-forme, le prix des chargeurs Secutor est quasiment le double des chargeurs M110 pour une contenance de billes trois fois plus petite. Si j’aime le look « Magpul » de ces chargeurs, je ne suis cependant pas prêt à y mettre n’importe quel tarif et je vous avoue que si j’avais eu à payer la réplique j’aurais acheté des chargeurs de M110 au lieu d’acheter des chargeurs Secutor…

Je ne sais pas si la réplique que j’ai reçu a été montée par une personne toute frêle ou si son tournevis pneumatique était mal calibré, mais toutes les vis étaient très peu serrées que ce soit sur le tour de la gearbox, le guide de ressort ou les attaches du garde-main.

Et pour finir, Secutor nous a habitué à des boites mieux remplies. J’aurais aimé une paire de rails M-Lock pour poser des accessoires, un ressort ou deux permettant de jouer partout (disons un à – de 350 FPS et un aux alentour des 390FPS…) comme le font certaines marques. Certes il y a tout de même l’attache-sangle QD, mais ça fait léger… Bref, je pense qu’il faut donner une plus-value au joueur désireux d’acquérir un Rapax.

Au delà de ça, on a une plate-forme en « 7.62X51 » plutôt pas mal finie, performante en sortie de boite, qui change un peu et dont la gearbox EFCS permet non seulement de s’affranchir de nos démodés switches mécaniques, mais en prime on peut programmer une protection de batterie et les modes de tir pour peu que l’on ait acquis le boitier de programmation (renseignez-vous avant d’acheter, il est probable qu’un de vos camarade qui joue avec un Amoeba ait acheté le boitier et puisse vous le prêter !).

Voilà, j’espère que cette review vous aidera à faire votre choix et à déterminer si le Rapax peut devenir votre réplique principale (ou agrandir votre collection !). N’hésitez pas à commenter en bas de page. En tout cas moi, je suis fan !

 

 

 

-Gearbox EFCS avec micro-switch et programmation (boitier nécessaire).

-Chargeurs du M110 Ares compatibles.

-Performances honnêtes en sortie de boite.

-Léger et maniable pour sa taille (merci le M-Lock !).

-Deux versions disponibles.

-Look sympa.

 

-Boite un peu vide.

-Joint de hop-up trop mou pour cette puissance.

-Puissance haute pour les règles associatives en France.

-Prix élevé des chargeurs Secutor.

-Calage des engrenages à vérifier.

-Serrage des vis à revoir.