Review Arcturus PP-19-1 Vityaz

 

 

15 mai 2022.

Modifié le 22 mai 2022. Modifié le 4 juin 2022.

 

On ne peut pas dire que le PP-19 Vityaz soit la réplique la plus présente dans les catalogues des différentes marques. Mais est-ce grave ? Après tout, cela fait des années que nous avons le modèle LCT pour contenter les fans de matériel sorti des usines d’Izmash.

Et pourtant, nous étions nombreux à attendre la version proposée par MOS sous sa marque Arcturus. Pas parce que c’était « juste » un Vityaz, mais parce que ce modèle marque un tournant pour la plate-forme AK de la marque : nouvelle gearbox compatible Marui, nouveau bloc hop-up et présence d’origine d’un petit MOSFET pour protéger le circuit.

Avec, en plus, un prix contenu aux alentours de 300€ en Europe, j’étais curieux de voir ce à quoi nous allions avoir droit. Faut-il sauter sur cette première production ou attendre un petit peu ? C’est parti pour une review la plus complète possible de cette nouvelle réplique.

 

Je vous laisse voir ou revoir le déballage de la réplique en vidéo :

 

 

Voici un court ARTICLE sur le Vityaz.

 

 

La réplique est livrée dans une boite en carton sur laquelle on retrouve le personnage équipé de lunettes de vision nocturne et d’un rappel sur Arcturus.

 

Les différentes fonctionnalités sont résumées sur des hexagones.

 

A l’intérieur, tout est protégé par de la mousse compacte mais un abonné m’a rapporté un cas de dégâts à la réception.

On y trouve :

-La réplique du PP09-01. Constituée majoritairement d’acier, on y trouve également de l’alliage et du polymère. Elle mesure entre 468 et 705 mm pour une masse de 2850 grammes.

-Un chargeur pouvant être réglé sur 30 ou 95 billes (BB).

-Un dessous de verre.

-Un bandeau de poignet anti-transpirant.

-Trois clés Allen et deux vis sans tête.

-Une extension de puits de chargeur.

-Un adaptateur DEAN vers mini Tamiya.

-Une tige de nettoyage.

-Le manuel d’utilisation.

 

 

 

Le voici, le PP-19-01. Bon, on est d’accord, pas de quoi se relever la nuit, c’est un AK en 9mm donc on retrouve tous les attributs de ses grandes sœurs.

Les contrôles sont facile à actionner et l’utilisation est intuitive.

 

La réplique est couverte d’une peinture noire granuleuse qui semble assez proche de l’aspect du vrai Vityaz.

Les marquages sont peu nombreux. Ici les différentes positions du sélecteur de tir : Automatique et coup-par-coup.

 

Des marquages du calibre réel.

 

Et les marquages Arcturus avec le numéro de série. C’est tout !

 

Le receveur et la plupart des éléments sont en acier.

 

Il n’y a pas de numéro de série ni de marquages RS sur le côté gauche. Dommage.

Par contre il y a un rail latéral. Ce rail n’est pas censé être présent avec les capots munis d’un Picatinny. Les prochaines versions de PP-19 n’auront plus ce rail latéral.

 

La crosse est également en acier, c’est un modèle « squelette ».

 

Un point d »accroche prend place à l’arrière droit de la crosse. Il viendra se verrouiller sur une goupille.

 

C’est du rustique !

 

L’anneau attache-sangle est en acier. Il tourne difficilement lorsqu’il est neuf.

 

Le bouton de déverrouillage de la crosse est en alliage. Nous verrons plus tard qu’il est composé de plusieurs pièces.

Appuyez dessus pour déverrouiller la crosse.

 

Elle viendra se verrouiller sur cette pièce.

 

Pour la libérer, il faudra légèrement la pousser vers le haut.

 

On remarque le profil particulier de l’attache de crosse, de l’arrière du receveur ainsi que la vis d’accès au changement de ressort rapide.

 

Une fois la crosse pliée, on peut facilement ranger la réplique.

 

Le sélecteur de tir en acier est équipé d’un ergot permettant de l’actionner avec l’index. Une légère découpe sur la partie supérieure permet de venir bloquer le levier d’armement pour régler le hop-up.

 

Le faux ensemble mobile avec l’extracteur moulé à l’avant.

 

Le levier est usiné à angle droit.

 

 

Le bloc hop-up à molette est un modèle différent de celui des AK-12. La molette est ferme et elle dispose de repères numérotés. Arcturus n’est pas satisfait avec ce modèle (moi j’aime bien pourtant ^^) et planche déjà sur un nouveau hop-up. Je vous le montrerai lorsque je le recevrai.

 

Ici, le bloc de mon AK12K pour comparaison.

 

Le pontet et la queue de détente n’ont rien de particulier mais on peut voir le poussoir permettant de débrayer l’anti-retour de l’engrenage moteur. Cela permet de détendre le ressort en fin de journée.

 

Le puits de chargeur est en polymère renforcé. Le bouton de verrouillage est situé à l’arrière.

 

Une extension est fournie dans la boite.

 

Elle vient se glisser sur le puits de chargeur et deux vis viennent la mettre en tension.

 

Cela permet d’engager plus facilement le chargeur.

 

La poignée pistolet lisse est en plastique. Elle est confortable.

 

Le capot supérieur est en acier, il est surmonté d’un rail Picatinny.

 

Le rail est marqué, cela permet d’installer ses optiques toujours au même endroit.

 

Dernière pièce en polymère, le garde-main.

Si la partie supérieure est classique, Arcturus a fait le choix de mettre un garde-main inférieur équipé d’un rail inférieur et d’un rail latéral placé à droite.

Ils ont peut-être anticipé les difficultés d’installation des pièces du marché…

 

Un anneau permet de fixer le mousqueton d’une sangle d’AK.

Le bloc d’emprunt des gaz est équipé d’un mini rail Picatinny.

 

Le cache flamme à 6 évents est en acier. Il est vissé au canon externe en aluminium via un filetage au pas de 14mm antihoraire (CCW).

 

Un joint torique permet d’assurer un montage sans jeu.

 

Terminons par le câblage. Le MOSFET est directement câblé près de la prise DEAN. Il assure la protection du contacteur de détente et d’après l’étiquette de la boite, une meilleure réactivité…

 

 

 

La hausse dispose de marquages de distance (50 à 200 mètres) peu détaillés. La pièce est assez grossière.

 

Le guidon est réglable en hauteur mais l’outil n’est pas fourni dans la boite.

 

La visée est conforme à celle que l’on peut attendre d’un AK mais la plupart d’entre-nous profiterons du rail supérieur pour utiliser un optique point rouge.

 

 

 

Les chargeurs sont composés d’une coque en polymère renforcé et d’un interne en ABS. Ils peuvent emporter entre 30 et 95 billes.

 

Les marquages du calibre de l’arme sont moulés sur la coque.

 

On trouve également le logo d’Izmash, désormais Kalashnikov Concern.

 

Un téton permet de perdre le moins de billes possibles lors du tir. J’ai pu tirer toutes les billes du chargeur en tirant en full, il m’en reste 2 quand je tire en semi.

 

Une plaque inférieure en acier maintient le mécanisme à l’intérieur de la coque.

 

Ici l’interne est déposé.

 

Si vous avez un souci de blocage de billes, soulevez cette plaque pour accéder au ressort et à la planchette élévatrice.

 

Le sélecteur de capacité est ici. A droite, c’est 90 billes…

 

…on pousse et on le fait glisser vers la gauche pour régler 30 billes.

 

Malheureusement, les chargeurs LCT ne sont pas compatibles avec le Vityaz Arcturus. Ils sont trop gros. Les chargeurs Arcturus ne sont pas non plus compatibles avec la réplique LCT.

 

 

 

Je vais commencer par un sujet qui fâche : la crosse. Et ce n’est pas à cause de son léger jeu, mais parce qu’il sera pour le moment difficile d’en adapter une autre à la place.

La goupille se chasse par le dessus. Sur mon exemplaire elle était légèrement matée. Je suppose que c’est pour éviter qu’elle ne s’en aille toute seule mais pas d’inquiétudes sur ce point…

 

L’entraxe est plus important que sur la plupart des autres marques et le profil de l’arrière du receveur empêche le verrouillage des crosses du commerce.

 

Ici une reproduction de crosse PT-1 Zenitco de la marque 5KU. Il va y avoir du boulot pour la monter…

 

Dont un gros travail d’usinage.

 

J’ai, pour ma part, décidé de tenter le coup avec une crosse PT-3 LCT car je garde la PT-1 pour un autre projet.

J’ai commencé par dévisser l’attache de la crosse afin de regarder où ça allait poser problème.

 

Puis j’ai patiemment limé les pièces afin de faire en sorte que ni la réplique, ni l’adaptateur ne soient fragilisés. Cela me permet également de pouvoir réinstaller la crosse d’origine et d’utiliser la PT-3 sur une autre réplique.

 

C’est trop serré avec la pièce de verrouillage en position repliée, je n’ai donc pas utilisé cette pièce.

 

Il m’a fallu ensuite trouver une vis compatible pour pouvoir visser l’adaptateur sur la crosse.

 

Puis j’ai arrondi et réduit l’épaisseur de la tête de vis.

 

Il faut ensuite couper la vis à la longueur requise.

 

Et enfin, j’ai réalisé une encoche à la scie puis au Dremel pour pouvoir visser.

 

L’important est que la tête de vis ne touche rien une fois la crosse verrouillée.

 

Une fois verrouillée, il y a un espace en haut et en bas. J’ai placé des petites rondelles pour gommer le jeu.

 

 

Est-ce que ça va être la même chose pour le garde-main ? En tout cas, la partie supérieure semble standard. ATTENTION : il est déjà arrivé que le loquet de verrouillage, qui est juste maté de l’autre côté, s’enlève de son emplacement.

 

Enlevons la partie inférieure en soulevant le petit loquet entouré en vert et en faisant avancer l’ensemble.

 

Le profil semble particulier par rapport à ce qu’on a l’habitude de voir en airsoft mais cela correspond plus ou moins au profil RS. (Merci à Laurent pour sa photo de Saiga9 accompagné d’un garde-main Zenitco).

 

 

Ici j’ai une pièce airsoft Asura Dynamics et on voit que son profil est bien différent. Pour l’installer, j’ai dû pas mal usiner la pièce pour réduire l’ergot.

 

Heureusement la poignée pistolet est plus classique. Une vis permet de la séparer de la cage moteur.

 

Et quelle cage moteur ! Remarquez son profil atypique.

 

Elle maintient en place un moteur 24000 tours/minute à aimants néodyme. Les seuls aimants plus puissants sont les électro-aimants. Ce type d’aimant permet d’obtenir des couples élevés.

 

Continuons ce démontage par la fausse culasse.

 

Elle est très fine. Espérons que le levier sera assez solide.

 

ATTENTION : Pour démonter le sélecteur de tir, on peut utiliser une pince et le dévisser mais on peut également ôter un petit capuchon en plastique et utiliser une clé Allen.

 

J’ai découvert l’existence du capuchon lorsque ma pince a ripé lors du remontage… Comme il est en plastique ça l’a bien marqué…

 

 

Passons sous la réplique pour ôter le spacer de puits de chargeur.

 

Il est à noter que sur cette réplique, la plupart des pièces sont marquées du logo Arcturus.

 

Otons les deux vis du bloc hop-up.

 

Par ici, nous pouvons enlever la vis de rétention du canon externe.

 

En temps normal, il suffirait simplement de taper sur la grosse goupille, mais ATTENTION : j’ai découvert un peu plus tard qu’il y a une minuscule vis Allen qui bloque la goupille.

 

Elle est située ici.

 

Et une fois qu’on a tapé sur la goupille sans l’ôter, elle ressemble à ça…

 

Et ça a marqué ma goupille. Ne faites donc pas la même bêtise que moi 😉

 

Bref, une fois la goupille enlevée on peut faire coulisser le canon externe vers l’avant.

 

Avec un peu de chance, vous pourrez faire sortir l’ensemble canon interne/hop-up, pour ma part je n’ai pas voulu forcer donc j’ai légèrement soulevé la gearbox.

 

Et voilà! Au remontage, n’oubliez pas de remettre le ressort sur le canon.

 

Voici le bloc hop-up plus en détails.

 

Une fois le clip en métal déposé, on peut ôter la molette et la pièce d’appui qui vient héberger le nub.

 

Le joint est assez dur, il dispose d’un bourrelet en W dont je suis peu fan.

 

Le canon en acier mesure 250mm pour un diamètre de 6.035 mm sur ma réplique.

 

Avant de pouvoir faire sortir la gearbox du corps de la réplique, il reste à démonter le bouton de verrouillage de la crosse car il traverse la gearbox. On voit vaguement le ressort sur la photo ci dessous.

 

J’en profite donc pour déposer le guide de ressort. On ôte la vis de blocage…

 

…puis on va appuyer et faire tourner le guide de ressort.

 

Il est en acier et dispose d’un roulement.

 

Tout ça pour vous montrer la pièce de rétention de la crosse qui traverse la gearbox.

 

Pour démonter le système, il faut ôter une toute petite vis sans tête.

 

Le bouton sort tout seul car il y a deux ressorts derrière.

 

Et on peut enfin faire sortir la pièce. J’espère qu’elle sera disponible rapidement en pièce de rechange car j’ai des doutes sur la fiabilité du système…

Arcturus prévoit de changer ces pièces par des pièces en acier.

 

Une vue sur l’intérieur du corps de la réplique. On voit la pièce en plastique sur laquelle le bloc hop-up est vissé. On peut l’ôter en la faisant coulisser vers l’arrière.

 

Et voilà, pour remonter, procéder à l’inverse. Mais ce n’est pas fini pour moi, intéressons-nous à la nouvelle gearbox V3 Arcturus.

 

Elle est belle, on sent que les moules sont neufs ^^

 

Un gros plan sur le système de débrayage de l’anti-retour. ATTENTION : Il semblerait qu’enlever cette pièce puisse résoudre les soucis de double feed ou en tout cas grandement les réduire. b

 

Les fils arrivent sur le micro-contact.

 

Le système de sélection de tir ici.

 

Cette pièce sert à guider le renvoi qui relie la queue de détente au micro-switch.

 

L’autocollant de contrôle. Je vais l’ôter et donc annuler la garantie…

 

Enlevons la cage moteur.

 

Puis le guide de câblage.

 

Et le guide du contacteur.

 

En position repos.

 

En positon tir.

 

C’est le profil de cette pièce qui détermine les sensations sur la queue de détente.

 

Déposons le dernier engrenage de sélecteur.

 

Et enfin, les 4 vis du tour de gearbox.

 

Nous pouvons voir ici que seul l’engrenage moteur (bevel gear) est monté sur roulement.

 

Hop, magie !

Bon, lors de l’ouverture il y a de grandes chances que la queue de détente saute.

 

Sur mon exemplaire, seul le bevel gear avait un peu de jeu.

 

Pas d’inquiétudes, là c’est le bazar mais ce n’est pas difficile à remettre en ordre si on reste calme.

 

Côté pneumatique, l’étanchéité était parfaite. Le piston en polymère dispose d’une crémaillère 14 dents en acier et d’une tête ventilée en polymère.

 

Le cylindre est perforé afin d’adapter le volume d’air expulsé en fonction de la longueur du canon interne.

 

La tête de cylindre est en plastique et son nozzle est en acier usiné par CNC.

 

Quant au nozzle, il est en POM et dispose d’un joint torique interne. Il mesure environ 19.80 mm.

 

Le tappet plate est un modèle V3 standard.

 

La queue de détente et son chariot.

 

Le chariot vient pousser ce renvoi qui vient lui-même actionner le contacteur.

 

Et voici le fameux contacteur à lamelles.

 

Les engrenages semblent solides, ils sont en acier fritté.

Le sector gear est équipé d’un retardateur (delayer) en plastique. J’ai eu quelques problèmes de double feed, je pense essayer d’ôter le delayer pour voir…

 

 

Et voici l’anti-retour de plus près.

 

Encore un joli puzzle qu’il faut réassembler ! Procédez calmement et n’oubliez pas de nettoyer et de graisser.

 

 

 

Il n’y a pas d’éclaté dans le manuel.

 

 

-Chronographe Acetech BT.

-Batterie LiPo 11.1V 1300mAh.

-Billes bio 0.20g Xtreme Precision, 0.25 traçantes Open Blaster ASG et 0.28 bio Airsoft Surgeon.

 

Avec 377 FPS de moyenne à la 0.20 et 15 billes par seconde de cadence de tir, vous allez pouvoir jouer partout avec ce Vityaz à partir du moment où vous restez en semi. Pour ma part, j’ai changé le ressort par un M90 me permettant de taper à 330 FPS.

La réactivité est assez bonne mais la sensation sur le queue de détente est spéciale. On sent comme un mur et il y a un reset assez marqué. J’aime bien ce style de détentes donc ça ne me gène pas mais ce n’est sans doute pas le cas de tout le monde.

Le hop-up fait bien son travail à partir du moment où on change le joint. En effet, le joint d’origine est un peu gras, a un profil en W et est un peu trop dur… J’ai tout de même pu toucher ma cible à 47 mètres mais certains joueurs se sont plaint de billes qui tombent à 20 mètres…

J’ai eu l’occasion d’aller jouer avec la réplique et je me suis très bien amusé. Cependant, un petit souci de double feed s’invite de temps à autres et mène à des trajectoires tombantes. Arcturus est déjà en train d’analyser le problème pour pouvoir le corriger.

Pour voir mes tests de tir, je vous invite à remonter en tout début d’article et de suivre le chapitrage de la vidéo.

 

 

C’est une review en demi-teinte que je vous propose. En effet, Arcturus « innove » avec une nouvelle gearbox, un receveur proposant un usinage spécifique pour le changement de ressort rapide, un MOSFET intégré et un hop-up à molette mais cette première série est encore un peu brute de fonderie et accuse quelques erreurs de jeunesse.

Car si les finitions sont correctes et le choix des fournitures « tactiques » assez logique, les performances en sortie de boite sont loin d’être excellentes et je souffre de double feed de manière récurrente avec cette réplique. Ce souci peut être en partie réglé en ôtant la pièce de débrayage de l’antiretour.  Le système de verrouillage de la crosse semble fragile et des joueurs ont reçu la réplique avec les pièces qui avaient sautées. D’autres ont eu un loquet de garde-main supérieur mal maté ou encore des blocs hop-up dont le C-clip avait sauté.

Pour ma part, j’apprécie le fait qu’Arcturus se lance dans ce type de modèles et je suis certain qu’à l’instar de l’AK12 nous verrons des modifications arriver sur les séries suivantes.

J’espère en tout cas que cet article vous permettra d’y voir plus clair et de déterminer si le PP-19-1 Arcturus pourra figurer dans votre collection. N’hésitez pas à nous faire part de vos expériences en bas de page dans le module DISQ.

De mon côté je modifierai l’article si besoin.

Si vous voulez soutenir mon travail vous pouvez le faire via Paypal (dingchavez90@hotmail.com) ou UTIP. J’en profite pour remercier les généreux contributeurs.

 

 

-Nouvelle gearbox V3 compatible Marui.

-Changement de ressort VRAIMENT rapide.

-Bon rapport qualité/prix.

-Débrayage de l’anti-retour.

-Hop-up à molette.

-Modulable en sortie de boite grâce aux différents rails.

-Sensations sur la queue de détente (si on aime, moi j’aime)

-Chargeurs pas chers et capacité variable.

 

-Le système de verrouillage de la crosse.

-Peu de compatibilité avec les fournitures d’airsoft existantes.

-Toujours pas fan de leurs joints de Hop-up.

-Parfois deux billes qui partent d’un coup.