Review Tokyo Marui SAIGA-12 K

 

 

Prix public constaté lors de sa sortie (Japon) : 54800 JPY – 340€


09 décembre 2023.

Dernière édition le 21 novembre 2024.

 

Il était annoncé depuis de nombreuses années et l’été 2023 aura vu s’achever la fin d’une longue attente pour de nombreux joueurs : le SAIGA12 gas blowback Tokyo Marui est enfin disponible !

Je m’en suis évidemment procuré un chez Impulse101 afin de pouvoir tester la bête et vous donner mes impressions, premièrement en vidéo, puis dans cet article.

J’avoue que je n’étais pas vraiment parti pour garder une réplique de ce type mais sans vouloir trop spoiler, je suis tombé amoureux de cette réplique de fusil de chasse semi-automatique et c’est devenu un gros coup de cœur !

Je vous propose de faire le point sur cette toute première réplique de la série Gas Blowback shotgun (GBBS) du constructeur nippon. Bonne lecture.

 

Je vous invite à voir ou revoir la vidéo de présentation :

 

 

Il s’agit d’une réplique du fusil de chasse semi-automatique Saiga 12K.

 

Comme très souvent, Marui nous propose une boite assez classe en carton. Le couvercle noir dispose de motifs en surimpression et de texte écrit en Anglais et en cyrillique.

 

SANTA 12K, la réplique du Père Noël ? Dommage que l’ont ait une petite faute de frappe sur le couvercle.

 

Un bloc de polystyrène collé sous le couvercle maintient les différents éléments en place et abrite la pochette qui renferme la documentation. La réplique et ses accessoires sont posés sur un morceau de tissus noir du plus bel effet.

Une fois tout déballé, on trouve :

-La réplique. Constituée d’acier, d’aluminium et de plastique, elle mesure entre 665 et 905 mm pour une masse sans chargeur de 2710 grammes.

-Un chargeur à gaz pouvant contenir jusqu’à 45 billes (BB). Il pèse 385 grammes.

-Un manuel d’utilisation et plusieurs fiches, le tout rédigé en japonais.

-Un outil de réglage du guidon.

-Un embout de BB-loader.

-Une tige de nettoyage.

-Un tube BB-loader et sa tige poussoir.

-Un bouchon de sécurité.

-Un sachet de 100 billes.

 

 

 

Ses origines kalashnikoveskes ne font aucun doute lorsqu’on le regarde. Le Saiga 12K dispose peu ou prou de la même identité visuelle que les AK74M.

On est dès lors peu surpris de la disposition des différents contrôles et de la prise en main de la réplique. Seule la section avant trahi son rôle de fusil de chasse.

 

Le corps est en aluminium recouvert d’un revêtement légèrement granuleux à la manière de l’AKM GBBR de la même marque.

Le côté gauche se voit gravé du numéro de série et du nom du fusil (cette fois-ci correctement orthographié).

On y trouve également le loquet de verrouillage de la crosse en position repliée.

Un peu plus en arrière, on a des marquages d’usine. Notez le logo Ismash mais l’inscription mentionne MARUI en cyrillique.

 

Un rail latéral est vissé au corps du Saiga12.

 

Les marquages du calibre du vrai Saiga12 sont situés du côté droit du corps, juste sous la fenêtre d’éjection.

 

Les marquages Marui et ASGK prennent place sous l’axe du levier de sélecteur de tir.

 

Ici, les deux crans du sélecteur de tir « civil » : Safe et Fire.

On peut remarquer que le levier laisse une trace sur le revêtement du corps, c’est une usure normale.

 

On peut remarquer le numéro 183 sur l’ensemble mobile et on remarque également la découpe du capot supérieur. Du fait de devoir éjecter des étuis beaucoup plus gros que sur les AK, une plus grosse découpe a été faite et un cache (obturateur) additionnel prend place derrière l’ensemble mobile. Il sert à protéger le ressort récupérateur des débris et de la saleté. Il coulisse en même temps que l’ensemble mobile lors du tir.

 

La poignée pistolet en plastique porte le marquage d’usine 33/2.

Elle est très réussie.

 

Sur cette photo, nous pouvons voir un petit poussoir entre le haut de la poignée pistolet et l’arrière de la queue de détente. Il s’agit de l’arrêtoir de culasse qui n’est malheureusement pas fonctionnel sur cette réplique.

 

La crosse fait moins bonne impression. Elle est similaire à une crosse d’AK74M mais sa construction semble moins solide que le reste. Il se peut que je sois influencé par les nombreuses casses ayant eu lieu sur des AK74MN next gen. En tout cas, cela sonne creux et tranche avec le reste de la réplique.

 

Du côté droit, un anneau attache sangle peut tourner sur lui-même pour assurer une bonne maniabilité.

 

La plaque de couche gaufrée est en métal. Une trappe permet théoriquement d’y insérer un kit de nettoyage et un bouton permet de la déverrouiller lorsqu’elle est repliée contre le corps de la réplique.

 

Un bouton latéral permet de la déverrouiller pour la replier, apportant un net gain de place.

ATTENTION : A l’usage la vis peut se desserrer et l’ensemble bouton/crochet peut être perdu. N’hésitez pas à défaire la vis et à la remonter au frein-filet.

 

De temps en temps la crosse vient butter sur le bouton…

 

Pour déverrouiller la crosse et la redéployer, appuyez sur ce bouton.

 

L’accroche est en métal, il y a peu de jeu entre les pièces.

 

Rien de spécial au niveau pontet/queue de détente/levier d’éjection du chargeur.

 

Ici une vue de dessous. On peut observer l’orifice rectangulaire d’arrivée de gaz dans le nozzle au milieu et sur l’avant le système d’approvisionnement en billes.

En position avant, tout est fermé et l’accès au bloc hop-up est scellé.

 

Lors du cycle, l’ensemble mobile recule et l’alimentation en billes s’ouvre pour en laisser passer 3. Nous y reviendrons lors du démontage.

 

L’ensemble mobile ne recule pas à fond mais cela suffit pour nous donner de bonnes sensations de tir.

 

L’avant du nozzle viendra assurer l’étanchéité de l’ensemble tout en repoussant le système d’alimentation.

 

Le garde-main est une pièce en plastique dotée d’un motif moleté. On a bien le style « fusil de chasse » à ce niveau là !

Un petit anneau attache sangle est situé sur sa partie inférieure.

 

Le long canon externe se termine par un protège-filetage.

 

Des pièces sont déjà disponibles pour agrémenter l’extrémité de cet imposant canon.

 

Une réglette striée (pour éviter les reflets) est montée sur la partie supérieure de la réplique, voyons à quoi elle sert dans la partie suivante…

 

 

 

Le SAIGA12 est à l’origine un fusil de chasse très simple.

Malgré tout le guidon, appelé grain d’orge, est ajustable en hauteur.

 

Pour ce faire, il faut utiliser le petit outil fourni dans la boite. Il efface un ressort à lamelle et permet de faire tourner la molette.

ATTENTON : Ne dévisser pas trop sinon vous allez désolidariser la baguette supérieure ! Nous verrons cela lors du démontage.

 

Pas de hausse à l’arrière, en gros, on fait comme le bon chasseur : on pointe, on tire !

 

 

Plutôt que de bricoler un système à base de réservoir de gaz séparé des cartouches classiques contenant les billes, Marui a créé un système deux-en-un basé sur les dimensions d’un chargeur réel de 5 cartouches. Des chargeurs longs sont déjà en préparation chez Marui et des drums HPA vont également voir je jour chez d’autres compagnies. Un astucieux bricoleur français propose même des chargeurs longs dans lesquels on peut insérer un chargeur midcap de MP5 Cyma, un autre encore à crée un système permettant d’insérer une cartouche de fusil à pompe Marui.

La coque extérieure est en plastique épais.

 

Si le symbole est celui d’Izmash, le texte signifie ici encore « Marui ».

 

Le talon reçoit les marquages Marui et un orifice donne accès à la valve de remplissage en gaz.

 

A l’arrière, le réglage par défaut place une barre en plastique devant la valve de percussion. Il s’agit du blocage de tir en fin de chargeur qui empêche le percuteur de frapper la valve lorsque toutes les billes ont été tirées.

 

Un petit bouton coulissant permet de se passer de cette fonction et ainsi de pouvoir tirer à vide.

 

Ici en position arrière, je peux tirer même sans billes.

 

Un imposant gas route prend place sur le dessus du chargeur. Le couloir de bille est situé à l’avant. Un téton vient pousser toutes les billes hors du chargeur afin de pouvoir tirer jusqu’au dernier projectile.

 

On peut ôter l’interne du chargeur de sa coque en appuyant sur un bouton situé à l’arrière et en tirant.

 

Voilà !

 

On peut voir ici les différentes parties du système. Couleur alu, le réservoir de gaz. Il est à peine plus gros qu’un chargeur de Glock.

A côté en noir, le réservoir de billes. Sur la partie supérieure, l’ensemble de décompression/percussion et alimentation en gaz et en billes.

 

En cas de blocage de bille, il est possible d’ouvrir pour sortir le ressort et le poussoir.

 

Par ici, on peut dévisser la valve de remplissage. Le culot du chargeur est maintenu par des goupilles.

 

Un thermomètre autocollant est placé sur le réservoir de gaz. Il permet de savoir si en théorie il sera possible de tirer toutes les billes. Le manuel conseille de tirer par des températures situées entre 20 et 25°C. C’est compliqué en Europe. J’attends l’hiver de pied ferme pour faire des tests d’autonomie par basse température. J’ai effectué sans problème des tests en mettant le chargeur au frigo mais cela ne remplace pas des tests sur le terrain.

 

Ici le mécanisme de blocage de tir en fin de chargeur.

Sans billes, la barre est en place devant la valve de percussion.

 

Avec des billes, elle est effacée et permet le tir.

 

 

Pour atteindre l’interne, il va falloir déposer le capot supérieur. Il est maintenu verrouillé par un poussoir lui-même muni d’un poussoir. Appuyez sur la pièce circulaire puis pousser vers l’avant tout en tirant le capot vers le haut.

 

On peut ensuite retirer l’ensemble amortisseur équipé de deux ressorts récupérateurs et de l’obturateur de culasse.

 

On peut voir que l’ensemble mobile vient taper sur un gros ressort.

 

On peut ensuite retirer l’ensemble mobile.

 

Cela nous permet de voir la mécanique de ce Saiga12. Je vous poste également son schéma.

 

L’ensemble mobile pèse 315 grammes. Nous parlerons de son démontage en fin de rubrique.

 

La poignée pistolet est fixée au corps de la réplique via une vis.

 

L’écrou peut sortir de son emplacement, vérifiez qu’il est bien en place avant de remettre la poignée.

 

Pour ôter la crosse, il faut chasser une goupille du bas vers le haut.

 

Voici les diamètres mesurés sur la partie inférieure et supérieure. Cela pourra servir si vous souhaiter monter un modèle différent ou un adaptateur pour crosse d’AR-15.

 

Passons au démontage du garde-main. Une simple vis et l’attache sangle s’en va, tout comme le garde-main.

 

Si vous avez besoin de déposer la réglette supérieure, dévissez la molette d’ajustement du grain d’orge à fond.

 

ATENTION : il y a un ressort, ne le perdez pas !

 

Puis chassez l’axe arrière.

 

Là encore, prenez garde à ne pas perdre la petite rondelle élastique, elle assure le maintien de la goupille.

 

On peut alors dévisser le support puis le faire glisser sur le côté.

 

J’ai prévu de remplacer le canon externe par un modèle court de chez Laylax. Ici nous pouvons voir la différence de taille.

 

Chassez la goupille inférieure.

 

Dévissez la vis située sous le canon…

 

Puis chassez la goupille supérieure.

 

On peut alors faire coulisser le bloc d’emprunt des gaz et son tube vers l’avant.

 

Dévissez le couvercle ne sert à rien mais si vous le faites, il y a un petit axe monté sur ressort.

 

Lors du remontage, il faudra bien pousser la pièce pour faire passer la goupille transversale.

 

Otons le canon externe mais avant, il faut enlever une petite vis sans tête.

 

Puis on dévisse…

 

Un joint torique permet aux trois canons internes de rester solidaires et de ne pas flotter dans le canon externe.

 

Ici une photo avec le canon court posé à côté des canons internes.

 

On peut mieux voir les trois orifices !

 

Ici une vue sur l’entrée du nozzle de chargement en billes.

 

Pour défaire le bloc avant, il faut chasser une grosse goupille et dévisser 4 vis.

 

Il faudra également défaire la vis de l’ergot de verrouillage de la crosse.

 

Retirons DOUCEMENT le bloc d’alimentation en billes.

 

Comme sur la réglette supérieure, il y a une rondelle fendue sur le bloc, ne l’oubliez pas au montage car elle aide au maintien de la goupille.

Notez également la présence d’un ressort et une petite bille au niveau de la partie inférieure du bloc. Ces pièces servent à assurer la souplesse de la patte de verrouillage de la crosse.

 

Deux longs ressorts sont accrochés au bloc, évitez de les tordre.

 

Ici une vue sur les trois nozzles qui viennent pousser les billes dans le bloc et distribuer le gaz lors du tir.

Comme sur les M870 (sauf première série) une tige en métal empêche qu’une bille vienne se bloquer au milieu et casse les nozzles.

 

Pour sortir les nozzles, poussez doucement en avant.

 

Comme le bloc coulisse, il y a une bille montée sur ressort de chaque côté. NE LES PERDEZ PAS !

 

Tout s’imbrique parfaitement, c’est très ingénieux.

 

 

Ouvrons le bloc hop-up. Il est maintenu fermé via deux vis.

 

Là encore, deux ressorts sont présents. Evitez d’y toucher sauf si c’est nécessaire.

 

Poussons la partie externe du bloc vers l’avant.

 

Une fois le joint torique qui lie les 3 canons ôté, on peut retirer chaque canon du bloc.

 

Ici les trois joints de hop-up sont restés dans le bloc. Pour le remontage, il vaut mieux les faire sortir et les replacer sur les canons.

 

Voici un joint. Sur mon exemplaire, ils sont très efficaces. Comme le réglage est fixe, c’est à chaque joueur de tester différentes masses de billes.

 

Les canons en aluminium mesurent 300mm de long pour un diamètre de 6.08mm.

 

Et voici un bien joli puzzle ! Rassurez-vous, vous ne devriez pas avoir à démonter votre réplique à ce point sauf pour remplacer une pièce.

Pour remonter la réplique, suivez les étapes dans l’ordre contraire.

 

Pour terminer, concentrons-nous sur l’ensemble mobile.

Il est constitué de plusieurs pièces que nous allons détailler.

 

Le piston est fixé au porte culasse par l’intermédiaire d’une vis BTR munie d’un joint torique, cela évite d’utiliser du frein-filet tout en la maintenant bien en place.

 

Une fois le piston ôté, cela libère le ressort de nozzle et son guide ainsi que le nozzle lui-même.

 

Le porte-culasse ici vidé de son nozzle. Nous aurons certainement droit plus tard à des pièces en acier qui augmenteront la masse totale et donc le recul de la réplique. Curieusement, un ensemble allégé est déjà sorti. Son utilité me rend perplexe. Personnellement, j’attends d’un GBBR qu’il me donne de bonnes sensations de recul.

 

L’imposant nozzle vient injecter le gaz au travers d’un orifice très large. Un joint torique assure l’étanchéité entre le nozzle et le bloc hop-up.

Son diamètre de 19mm permet de bien détendre le gaz.

 

La tête de piston en plastique est vissée sur un piston fixe en métal. On remarque des petits orifices qui permettent au gaz de venir plaquer le joint torique (o-ring) contre la paroi du cylindre.

Avant de remonter, j’ai mis un tour de ruban PTFE sous le joint torique pour améliorer l’étanchéité.

 

 

 

 

-Chronographe Acetech AC6600BT et Xcortech 3500.

-Green gas 130 PSI.

-Billes bio 0.20g Canik (Cybergun) et 0.28/g 0.32g bio ASG Open Blaster.

Difficile d’avoir des mesures correctes lorsqu’on n’a pas 3 cylindres séparés mais le Xcortech s’en sort plutôt bien. On s’aperçoit dès lors qu’avec un gaz 130 PSI (pour rappel, les répliques à gaz Marui sont étudiées pour tourner avec un gaz faible, aux alentours de 90/100 PSI) on obtient des valeurs comprises entre 295 et 350 FPS (à prendre avec des pincettes). Les sensations de tir sont satisfaisantes et le combo recul/son est vraiment fun.

J’ai à chaque fois pu tirer l’ensemble des 45 billes avec une charge de gaz et pu recharger en billes ensuite pour continuer à jouer.

Les joints de hop-up sont efficaces sur mon exemplaire et si j’ai tiré sur cible à la 0.28, je suis passé à la 0.32 pour aller en jeu. Cela m’a évité d’avoir trop d’effet en fin de course. J’ai joué en forêt et n’ai eu aucun mal à sortir les copains même à plus de 40 mètres ! Les trois billes restent relativement groupées mais sont assez écartées pour avoir un petit effet de gerbe.

 

Je vous laisse voir cela en vidéo :

 

 

SPOILER ALERT : Je suis un peu fanboy Marui.

Cependant, à moins d’être d’une mauvaise foi sans borne ou complètement imperméable au gaz, difficile de ne pas prendre du plaisir lorsqu’on utilise ce SAIGA12K !

Sans parler de la boite et de son contenu complet dans un environnement assez classe, la réplique en elle-même respire la qualité. Marui a encore innové avec la création d’un système gas blowback pouvant tirer trois billes au travers de trois canons différents. Dès sa sortie, certains imbéciles espéraient déjà des copies « chinoises » à bas prix. J’espère de tout cœur que ces énergumènes seront un jour confronté à la délocalisation économique dans leur travail (désolé Bob, on te vire, tu coûtes plus cher qu’un indonésien…) , ça leur remettra peut-être les idées en place…

Voilà pour le sel ^^

Les finitions de la réplique sont bonnes mais un doute persiste quant à la solidité de la crosse et son système d’attache. Non pas que j’ai eu vent de nombreux problèmes à ce niveau sur le SAIGA12 mais sur les AK74MN Next Gen équipées de ce type de crosse, les chutes et des chocs pardonnent rarement à ce niveau. J’espère me tromper et surtout que les chutes et les chocs ne font pas partie de votre quotidien.

Les performances en sortie de boite sont bonnes, il vous faudra déterminer quelle bille convient le plus à votre réplique mais une fois cette étape passée c’est du fun garanti ! Les chargeurs permettent de ne tirer « que » 15 fois, il faudra dès lors adapter votre jeu, surtout si vous êtes habitué au mid/high cap. J’ai pu mettre les chargeurs sans souci dans des poches doubles pour chargeur d’AK.

Des accessoires permettent déjà de personnaliser l’externe et quelques pièces internes (culasse légère, valve de chargeur) sont disponibles.

Du côté des points négatifs, Marui a toujours du mal à mettre à disposition les pièces détachées nécessaires en cas de casse ou de panne, le chargeur nécessite un peu d’entrainement (et de rodage) pour être inséré facilement et enfin, l’arrêtoir de culasse n’est pas fonctionnel.

 

Pour ma part, je prends un énorme plaisir à jouer avec le SAIGA12 avec les potes et j’espère que Marui exportera ce système à d’autres fusils semi-automatiques !

J’espère que cet article vous permettra d’y voir plus clair et de déterminer si le SAIGA12 GBBS Tokyo Marui pourrait figurer dans votre collection. N’hésitez pas à nous parler de vos expériences en bas de page via le module DISQ.

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-Bonnes finitions.

-Performances en sortie de boite.

-Très amusant à utiliser.

-Accessoires déjà disponibles et fournitures RS compatibles.

-Facile à entretenir.

 

-Solidité de la crosse et de ses attaches à voir en cas de chute (CF AK-74MN Next gen…).

-Vis du bouton de verrouillage de la crosse qui peut se desserrer.

-Chargeur parfois difficile à enclencher.

-Arrêtoir de culasse non fonctionnel.

-Disponibilité de pièces de rechange Marui assez aléatoire.

Une réponse à “Review Tokyo Marui SAIGA-12 K”

  1. Viper dit :

    Toujours un énorme plaisir de lire tes reviews.
    J’ai une question que je me pose depuis des années.

    Sais-tu pourquoi Marui peut maintenant depuis quelques années faire des répliques en alliage alors que historiquement les lois japonaises le leurs interdisent d’où leurs utilisations légendaire de l’abs.

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