Review EMG/CYMA N4 Noveske GBBR CGS

 

 

08 octobre 2023.

 

Il y a quelques mois, je me suis acheté le N4 GBBR Double Eagle, profitant d’un bon prix bien chelou (75€ moins cher que le ppc !) sur une boutique d’Europe de l’est ^^

Cette réplique développée pour EMG reprend le système Marui, y compris le ZET system.

Entre temps, EMG avait déjà annoncé un N4 GBBR (wait… what? Un second ?) dans le cadre de la série Cyma Gas System (CGS) qui comprendra outre ce N4, un M4A1 et un Mk18 Daniel Defense (une courte vidéo est disponible ICI). D’autres modèles GBBR sont également en préparation en collaboration avec d’autres assembleurs…

Mais c’est bien le fruit de cette collaboration entre EMG, Cyma et SP Systems que je vous propose de découvrir ou redécouvrir aujourd’hui.

Merci beaucoup à Evike Europe pour leur soutien.

 

Je vous laisse voir ou revoir la vidéo de présentation :

 

 

 

Voici la page directe vers le site de NOVESKE.

 

La réplique et ses accessoires prennent place dans une boite en carton relativement épais.

Le couvercle est orné du logo, du nom de la marque Noveske et d’une devise « all American badass rifle company ».

 

Le tout est calé dans une sorte de coque modulaire en papier thermoformé. Sur mon exemplaire l’odeur de ces coques était horrible…

Des petits sachets remplis de papier permettent de maintenir le tout dans la boite.

On y trouve :

-La réplique du N4 gen3 Noveske. Elle est constituée en grande partie d’aluminium, d’acier et de polymère et mesure entre 700 et 780 mm  pour une masse de 2315 grammes sans chargeur.

-Un chargeur à gaz type L5 pouvant emporter entre 30 et 35 billes (ça dépend des fiches produit ^^).

-Un speedloader (bb loader) type chargeur STANAG.

-Une tige de nettoyage.

-Un certificat d’authenticité.

 

 

Ce N4 est bien entendu un AR-15 donc les différents contrôles et la prise en main sont intuitifs.

Le corps, le canon externe et et le garde-main sont en alliage, la crosse et la poignée pistolet en polymère renforcé et de nombreuses pièces internes sont en acier.

La peinture beige est assez jolie (la réplique existe également en noir) mais nous verrons qu’elle semble assez fragile.

 

La réplique est constellée de marquages.

 

Le logo et la marque Noveske et le numéro de série figurent sur le côté gauche du receveur inférieur (lower).

 

Le nom Noveske est moulé sur le receveur supérieur (upper).

 

Model N4 ainsi que les repères du sélecteur de tir. Le sélecteur n’est pas ambidextre.

 

Néanmoins, le petit cran du sélecteur côté droit permet de voir en quelle position est le levier.

Nous pouvons voir un marquage « EMG training system » et un logo Noveske sur la goupille de démontage arrière.

 

Le cache poussière en tôle est gravé à l’intérieur et à l’extérieur du calibre de la vraie arme, .300 Blackout.

 

Un logo Noveske est gravé sur l’ensemble mobile.

 

Autre logo Noveske sur l’assistance d’armement de l’ensemble mobile.

 

Un logo Noveske au niveau du levier d’armement…

 

…ainsi que sur le levier lui-même.

 

Un logo Noveske sur la goupille de démontage avant…

 

…sur le couvercle du compartiment de la poignée pistolet…

 

…et sous le pontet.

 

EMG a décidé (je suppose) d’utiliser une crosse type Crane en lieu et place de la crosse Magpul MOE SL-R qui équipe l’arme en série.

Elle est montée sur un tube à 4 emplacements.

 

La plaque de couche est en caoutchouc.

 

Une plaque munie d’un emplacement quick detach (QD) pour anneau de sangle est fixé au tube de crosse. Un logo Noveske y a été gravé.

Notez que la crosse est TRES serrée sur son tube.

 

La poignée est une reproduction de la Magpul MOE K2.

Elle est confortable.

 

Un petit couvercle permet d’y stocker de petits objets.

 

Une vue dans le puits de chargeur. Notez les dégâts sur la peinture.

 

Si ce N4 est une plate-forme moderne, aucun des contrôles n’est cependant ambidextre.

 

L’arrêtoir de culasse est situé du côté gauche, il est fonctionnel et vient bloquer l’ensemble mobile en fin de chargeur.

 

Une vue opposée. On y voit le nozzle.

 

Le bouton d’éjection du chargeur. Il est en acier.

 

Le pontet est élargi mais la queue de détente est classique.

 

Le garde-main est un modèle NSR-9. Il est fabriqué en aluminium.

Des ports M-LOCK sont situés sur les côtés et le dessous.

Un rail Picatinny orne sa partie supérieure.

 

Attention cependant, le bloc d’emprunt des gaz bloque l’un des ports.

 

Le receveur supérieur est également équipé d’un rail Picatinny.

 

Un compensateur est vissé sur le canon externe. Ici ce n’est pas le modèle d’origine.

Le pas de vis est de 14mm antihoraire (CCW).

 

 

On aperçoit ici des marquages sur le canon externe.

 

 

 

Les organes de visée sont rabattables (flip-up) et fabriqués en polymère renforcé.

 

 

 

 

Le chargeur fourni avec la réplique est un modèle Lancer Systems L5 AWM  (75€ pièce en France, ça pique !).

Il peut emporter entre 30 et 35 billes, évitez de le charger au maximum pour préserver votre nozzle.

La coque est en polymère transparent et l’interne en aluminium. Il pèse 355 grammes.

Une planche comportant de fausses munitions de .300 blackout y est insérée.

 

La valve de percussion ici.

 

Le gas route. Il subsiste apparemment encore des doutes sur la compatibilité de ces chargeurs avec les répliques Marui et des chargeurs Marui avec le système T8.

Je ne peux vous parler que de mon expérience personnelle durant les semaines passées avec la réplique.

*Chargeur L5 sur un corps de MTR16 Marui : Ca fonctionne mais il faut insérer le chargeur avec force car ça frotte beaucoup sur les parois du puits de chargeur. Pas de problème de tir.

*Chargeur Marui dans le N4 Cyma : Ca rentre bien, j’ai tiré une bonne cinquantaine de chargeurs en utilisant toujours le même pour constater si oui ou non il y avait un problème de lèvres et de gas route comme j’avais pu le lire sur des publications assez anciennes sur internet. Au final je n’ai rencontré aucun problème particulier. Un commentaire utilisateur figure sur le site américain Evike, je vous en fait une copie :

« Most of the issue with the original T8 system has been fixed on this EMG N4 model, you know you get a revised version when your gun come with the white letters printed on the gun. So yes, TM mag compatible, no worry about having to buy T8 lips for your TM mags. »

La plupart des problèmes liés au système T8 d’origine ont été réglés sur ce N4 EMG. Vous savez que la version a été révisée si vous avez les lettres blanches sur la réplique (numéro de série ???). Donc oui, compatible avec les chargeurs Marui, pas besoin d’acheter des lèvres T8 pour vos chargeurs Marui

Mais sur un commentaire sous ma vidéo de déballage (commentaire que je ne retrouve plus…) un utilisateur disait qu’il avait des misfeeds avec les chargeurs Marui, que son nozzle forçait vers le haut et que de ce fait ce n’était pas compatible…

Bref, si vous voulez être sûr de ne pas avoir de souci de compatibilité, achetez des chargeurs T5 mais je dois avouer que si j’avais eu à garder cette réplique, je l’aurait fait tourner avec mes chargeurs Marui.

J’ai également testé avec un chargeur Double Eagle et n’ai pas rencontré de problèmes particuliers.

 

On peut tout de même voir que les pièces ont un profil légèrement différent.

 

Le talon est en plastique beige, il coulisse pour donner accès à la valve de remplissage.

 

J’ai lu quelque part que l’on pouvait faire sauter la petite plaque comportant le logo afin d’avoir un accès plus rapide à la valve.

 

Pour ôter l’interne, il faut dévisser une petite vis et faire coulisser les pièces.

 

Les fausses balles sont imprimées sur un support plastifié qui est maintenu à l’intérieur de la coque.

 

Deux petites vis permettent de déposer la partie inférieure de la coque.

 

Voici le réservoir en aluminium.

 

 

 

Pour l’entretien courant et l’accès à l’ensemble mobile (bolt carrier) il suffit de chasser la goupille arrière et de « casser » la réplique en deux.

 

On peut ensuite tirer sur le levier d’armement et faire sortir l’ensemble mobile.

C’est ici très très sec mais la réplique a certainement été déjà démontée et nettoyée par les copains d’Evike Europe…

 

Nous sommes en présence du bolt carrier acier T8 SP Systems. Il reprend néanmoins les fonctionnalités du BC Marui.

Sa masse est de 220 grammes, identique au BC Marui en alliage !

 

Un rouleau permet de fluidifier le cycle.

 

Une masse additionnelle est fixée sur l’arrière du BC.

 

Le nozzle ici, on voit qu’il a été marqué au niveau de la pièce qui vient chambrer les billes.

Cela peut venir de chargeurs engagés avec trop de billes ou de mauvaises introductions de billes.

Pour éviter ce phénomène (qui peut aller jusqu’à la casse de la pièce), remplissez vos chargeurs en billes au maximum, puis ôtez manuellement une ou deux billes. Cela évite que lorsque vous introduisez un chargeur plein alors que le nozzle est vers l’avant les billes viennent forcer sur cette partie.

 

Comme sur le BC Marui, un ressort permet d’amortir les chocs lors du cycle.

 

La tête de nozzle est également montée sur ressort. Sur cet exemplaire, elle ne revenait pas très bien.

 

Pour défaire le nozzle, il va falloir dévisser une vis située à l’arrière du BC. Comme la vis est solidaire du ressort de nozzle, il vaut mieux tirer le nozzle complètement vers l’extérieur en même temps que l’on dévisse.

Idem pour remonter une fois que vous avez fait prendre 1 ou 2 filets.

 

Avant de dévisser, ôter le C-clip.

 

Puis démontez le guide de nozzle. Il faudra très légèrement le plier pour le faire sortir vers l’avant.

 

Ensuite, déposez la masse additionnelle.

 

Cela permet de faire passer le tournevis.

 

Deux petits joints toriques sont montes sur la vis.

 

Si vous souhaitez séparer le nozzle en deux, défaites la petite vis cruciforme située sur le dessus du nozzle.

 

Pour le remontage, notez que la vis passe au travers de la pièce qui maintient la rocket valve.

Malheureusement il n’y a pas de système de réglage de la valve d’origine sur cette réplique.

 

Néanmoins, si la réplique avait été à moi, je pense que j’aurais fait un trou au bout de la valve de part en part pour y visser une vis BTR sans tête. J’aurais alors pu régler la position de la valve au travers du nozzle pour réduire l’énergie de la réplique.

 

Voici l’ensemble au complet. Inutile de démonter cela si vous n’avez rien à y modifier.

 

Si vous avez besoin d’accéder à l’amortisseur et à son ressort, appuyez sur la pièce rectangulaire grise (et retenez les pièces ^^).

 

L’amortisseur est en alliage avec un morceau de caoutchouc pour limiter les chocs.

 

Passons au hop-up. Le réglage s’effectue très simplement à l’aide d’un tournevis. Des petits crans permettent un réglage assez fin mais comme souvent sur ce genre de système, on tombe parfois sur un os : avec un clic qui ne lève pas assez et le clic suivant qui lève trop.

Au bout de la flèche jaune; on peut voir la vis de maintient du bloc. Dévissons-la…

 

Le bloc peut alors coulisser et sortir. Il est fabriqué en acier.

 

Ici on voit bien la spirale.

 

Une vue sur le joint. Non, ce n’est pas du Nineball, en témoigne la forme des bourrelets.

 

A l’aide d’un autre canon, on pousse le canon interne vers l’arrière pour dégager l’ensemble.

 

Le bloc hop-up est en alliage. Il est maintenu fermé par deux joints toriques.

 

Le canon interne est également pourvu de deux joints qui gomment le jeu entre canon interne et externe.

 

Le nub est spécifique, il a un profil plat.

 

Le joint est relativement souple, deux longs bourrelets assurent l’effet hop-up (en langage scientifique : Effet Magnus).

 

Le canon mesure 266 mm pour un diamètre de 6.04mm.

 

Comme j’ai un peu de jeu au niveau du canon externe, j’ai voulu voir si l’écrou de canon (barrel nut) était bien serré.

Pour y accéder, il faut déposer le garde main. Il est visé au barrel nut.

 

Bingo ! Le barrel nut n’était pas correctement serré.

Je ne suis pas étonné car le garde-main y étant fixé, il faut faire correspondre les trous du barrel nut aux orifices du garde-main.

Il est parfois difficile de tomber pile mais il faut essayer. Pour ma part j’ai pu le serrer modérément et y ai ajouté une goute de frein filet bleu.

 

J’ai profité du fait de sortir le canon pour prendre ses marquages en photo.

 

La poignée pistolet peut être remplacée par un modèle RS pour AR-15.

 

Passons au cœur du système T8 : le groupe détente (trigger group).

Il est semblable mais différent du système Marui qui introduit le système ZET pour amortir l’arrêt de l’ensemble mobile lorsque le chargeur est vide.

 

A la place, on a un système plus classique de contact acier contre acier.

Il est à noter que je n’ai pas rencontré de problème de bolt lock lors de mes tests et malgré les chargeurs que j’ai enchainé (et je n’étais pas le premier !) les signes d’usure sur le bolt catch et sur le bolt carrier sont infimes.

 

 

Trois vis de réglage sont située sur le système. Je vous les ai marquées sur les photos ci-dessous et j’y reviendrai après avoir sorti le trigger group de corps de la réplique.

 

Et pour sortir le trigger group, c’est relativement simple. Défaites la vis arrière…

 

… chassez cette goupille ET CETTE GOUPILLE SEULEMENT !!

 

Dévissez le système de rétention du chargeur…

 

…et démontez le sélecteur de tir (on l’incline de 45° et on essaie de tirer dessus tout en le faisant gigoter).

 

Le trigger group sort alors en douceur !

 

La plupart des pièces qui le composent sont en acier.

 

Ici le T8.

Et là le ZET Marui.

 

 

Revenons aux trois vis de réglages. Celle du dessus permet de régler la force du ressort de marteau de 100% (en haut) à 20% (en bas).

 

La vis de la queue de détente permet de régler son engagement sur la gâchette (sear). Attention à ne pas trop serrer pour éviter un départ de coup accidentel ou l’impossibilité de tirer.

 

La vis arrière permet également de régler l’engagement sur la gâchette. Trop serrer peut bloquer le système.

 

En faisant quelques expériences j’ai pu réduire le poids de détente à 3 kilos. C’est plus agréable.

Attention néanmoins encore une fois à ne pas trop forcer sur les réglages au risque d’avoir un blocage du bloc détente.

 

Il est temps de tout remonter. Serrez bien les vis, au besoin avec une petite goutte de frein-filet bleu et lubrifiez de manière adéquate les parties mobiles.

 

 

Il n’y a pas d’éclaté dans la boite.

 

 

-Chronographe Acetech AC6000BT MkIII

-Green gas 130 PSI Airsoft Surgeon.

-Billes 0.20g bio Canik et 0.32 bio ASG Open Blaster.

Avec du gaz 130 PSI et en intérieur, la réplique développe environ 1.4 joules. C’est jouable mais lorsque j’ai pris la réplique pour la tester sur le terrain, les 29° de température extérieure ont fait monter l’énergie à 1.6 joules, j’ai donc dû laisser la réplique dans le coffre car je n’avais pas pris de gaz moins puissant. En l’absence de système de réglage de la rocket valve, je vous conseille d’alterner le type de gaz en fonction du terrain et de la température extérieure.

La cadence de tir est située aux alentours de 13.5 billes par seconde, c’est largement suffisant étant donné qu’avec un GBBR, vous allez vite perdre en précision si vous faites de trop longues rafales.

De base, le poids de détente est assez élevé. Ce n’est pas très surprenant sur une réplique d’arme utilisée par des militaires mais pour un airsofteur, cela peut être déconcertant au premier abord. J’ai pu réduire ce poids de détente de 3.8 kilos à 3 kilos en agissant sur les réglages du trigger group.

Le recul est bien présent sans être exagéré, procurant de bonnes sensations et sur cible, on peut facilement toucher au delà de 45 mètres même si le groupement est assez large. Je pense qu’un changement de joint fera du bien à la réplique, surtout si vous souhaitez tirer de la bille un peu lourde. Au delà de 0.32, la réplique avait dû mal à être efficace.

 

Je vous laisse revoir l’extrait vidéo :

 

Le tarif fait un peu mal si on pense toujours à Cyma comme la marque cheap des années 2005-2015 mais à part la peinture fragile, le reste correspond à un GBBR Marui sorti de boite MAIS avec un système « d’upgrade » T8.

J’ai lu tout et son contraire sur ce système T8 mais je dois avouer que les semaines passées avec ce N4 se sont passées sans encombre même en utilisant des chargeurs Marui.

Malgré les milliers de billes tirées par les copains d’Evike Europe et moi-même, les traces d’usure sont minimes sur la mécanique interne en acier mais bien visibles sur la peinture du puits de chargeur.

On peut se poser la question de savoir pourquoi EMG n’a pas demandé une crosse type Magpul sur cette réplique, mais vu la chasse à la contrefaçon lancée par PTS il y a peu, cela peut être une explication : ne pas trop augmenter le prix de la réplique avec une crosse PTS mais ne pas se faire taper sur les doigts en utilisant une copie… De plus, la crosse est vraiment serrée sur son tube et nécessite un effort assez important pour être déployée.

L’accès facile au réglage du hop-up et les différents ajustements du trigger group ajoutent un peu au plaisir d’utilisation de ce N4 Noveske. Les performances en sortie de boite sont satisfaisantes mais sans plus. Le recul est bien perceptible mais la queue de détente gagnerait à être un peu moins dure et nécessitera un peu d’entrainement pour être domptée. L’absence de rocket valve réglable vous obligera à bien faire attention au gaz utilisé car de base ça tire assez fort.

Au delà des 575€ demandés pour la réplique, comptez également 75€ par chargeur d’origine supplémentaire, cela peut donner une addition assez salée au final, mais c’est malheureusement le lot de nombreux GBBR…

J’espère que cet article vous aidera à déterminer si cette Noveske N4 GBBR EMG/Cyma peut convenir à vos attentes. N’hésitez pas à commenter en bas de page sur DISQ pour nous raconter vos expériences avec votre N4.

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-Bonnes finitions.

-Bonnes sensations de tir.

-Performances correctes en sortie de boite.

-Facilité du réglage du hop-up.

-Interne en acier.

-Réglages du bloc détente.

 

-Queue de détente un peu dure d’origine.

-Choix d’une crosse Crane au lieu de la crosse type Magpul.

-Prix des chargeurs supplémentaires.

-Peinture fragile ?

-Crosse difficile à déployer.

-Tire un peu fort en sortie de boite.